Hola todos amigos parapentistes

Nous fûmes huit à Bron, pour 2 véhicules dont une nouvelle Skoda (ce n’est pas une information importante pour le récit), puis un amigo Didier à l’atterrissage de l’Epine.

Voici comment tout cela a commencé.

Après être montés au déco de l’Epine, puis s'être préparés, les départs se précisent, en :20230730 190852

1/ Gilles Mouche 2/ Didier 3/ Denis /4 Robert 4/ Robert 4/ Robert 4/ Robert, puis Robert (!!!)5/Gilles /Gilles ; puis Nico ; et re5/ Gilles/ après je n’ai pas suivi j'étais en vol, hihihi.

Puis Erwan et Pascal.

Donc je décolle, je prends de suite le thermique qui me monte assez haut, pour partir vers la dent du chat, alors que je suis haut sur la crête près des antennes* (*pour situer l' action ), plus bas je vois Robert en train de danser la gigue* (*danse irlandaise), près du relief , je me dis : « holala ça va être chaud patate* (*je dois avoir faim) » après la gigue, et la patate, je suis dans le" thon" ! (ho punaise je passe au poisson !!)

Vite ! Vite !  Il faut que j'accélère pour aller manger.

Bref je poursuis mon chemin et j’arrive à la dent du chat* (*qui soit dit en passant ne ressemble en rien à un chat).

Je fais demi-tour, comme d’habitude, j’ai foi en moi, je vois d’autres voiles plus haut, j'avance et d' un coup je me retrouve à 9 km/h… Whaouuuu, et pourtant c'était ouest, je pense après en avoir discuté que l'ouest tape sur la crête et poursuit son chemin vers le nord, ce qui nous freine pas mal, je sors l'accélérateur et m'écarte de la crête, je devine bien que le problème est là.

Le retour se passe pépère jusqu'au mont Grêle, qui se trouve au sud du lac d'Aiguebelette,

Là où il y a les lignes à hautes tensions.

C’est toujours bluffant à l’approche des lignes, car un peu avant, on se positionne sur la crête et par l’esprit d’Eole* (fils de Poséidon*…il y a débat) on monte en horizontale comme un thermique couché, mais sans effort par-dessus les lignes électriques à hautes tensions, hooooooooooo !! ça fait peur.

Je poursuis mon vol jusqu' au Beauvoir* (*A Saint Jean de Couz) qui se trouve à 1330 mètres d’altitude au bout de l’Epine* (*la montagne), je croise Nico et JC qui se suivent, et Didier, qui cherche bien plus bas un je ne sais quoi, des pâquerettes* (*plante qui soigne les bobos) peut être dans l'optique de faire un crash, haha ha, je rigole.

Bien entendu il s’en est sorti dignement.

Robert dont le terrain de jeu devient restreint, part en direction de la Chartreuse, il ne reviendra pas, les conditions ont parlé ! Vous êtes éliminé ! Hi.

Retour à la base* (atterro + bar) avec les autres volants, que je n’ai pas croisé en vol mais qui se font fait plaisir, sauf peut-être Erwan pour son second vol qui a légèrement dérapé au déco, sans gravité, à part un petit bobo (voir photo…) et à l'âme peut être.

En conclusion c'était une bonne journée et un bon vol pour tous, entre 1h et 3 h de vol. C'était un peu cyclique, puis cela s’est calmé et le soir vers 20h il y avait encore des voiles.

Une bonne bière, un Vito qui est venu faire une halte au bar, et voici le résumé de cette journée à Aiguebelette ou nous fûmes huit au retour, je dois conclure !

Car une gigue et de la patate m' attendent, bon appétit .- ߘꦬt;/p>

Hasta pronto a todos  

Gilles

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